lundi 29 décembre 2008

Notre Afrique

«Dans Mon Afrique, Lucie Pagé racontait ses dix années passées en Afrique du Sud. Il y était question de la situation politique post-apartheid, des conditions de vie des Noirs, de son travail et de sa vie amoureuse avec Jay Naidoo, un charismatique syndicaliste sud-africain, avec qui elle a eu deux enfants et trois mariages !
En terminant sa rédaction avec: "Cette histoire est loin d'être finie...", Lucie ne se doutait pas que les lectrices et lecteurs seraient nombreux à réclamer une suite, pour toutes sortes de raisons. Un couple intercontinental mixte est-il viable ? Comment élève-t-on des enfants sur deux continents ? Qu'advient-il de Nelson Mandela depuis 1999 ? L'apartheid est-il bel et bien révolu ? La condition de vie des femmes en Afrique s'est-elle améliorée ? Qu'en est-il de la violence, du crime, mais aussi de la musique, de l'art et de la beauté des différentes cultures ? Sur le chemin de la vérité, de la réconciliation et de la paix, où en est l'Afrique du Sud, une douzaine d'années après les premières élections multiraciales et démocratiques de l'histoire du pays ?
Notre Afrique contient toutes les réponses à ces questions. En outre, grâce à son inestimable expérience sur le terrain, Lucie Pagé porte un regard juste sur la place du continent africain dans le monde et dans le courant de la mondialisation, et sur le rôle de l'Afrique du Sud dans la direction que prendra le continent tout entier. Son récit reprend donc en 1999...»
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Cette suite de «Mon Afrique» est aussi excellente. Même si les deux tomes racontent la vie personnelle du couple en même temps que l'histoire de l'Afrique du Sud, «Notre Afrique» met plus l'accent sur l'Afrique que sur l'histoire d'amour. Dans «Mon Afrique», on vivait la libération de l'Afrique du Sud à travers la vie de Lucie Pagé. Dans la suite, on voit plus l'histoire à travers les yeux de la journaliste. Ce qui n'est pas moins intéressant, mais cependant différent. Lire la suite répond donc à plusieurs questions, mais il n'est pas absolument nécessaire de la lire non plus.

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