vendredi 10 juillet 2009

L'amour aux temps du choléra

«Dans une petite ville des Caraïbes, à la fin du siècle dernier, un jeune télégraphiste, pauvre, maladroit, poète et violoniste, tombe amoureux fou de l'écolière la plus ravissante que l'on puisse imaginer.
Il lui jure un amour éternel et accepte de l'épouser.
Pendant trois ans, ils ne feront que penser l'un à l'autre, vivre l'un pour l'autre, rêver l'un de l'autre.
Jusqu'au jour où l'éblouissante Fermina Daza, créature magique et altière, préférera un jeune et riche médecin, Juvenal Urbino, à la passion invincible du médiocre Florentino Ariza.
Fermina et Juvenal gravissent avec éclat les échelons de la réussite en même temps qu'ils traversent les épreuves de la routine conjugale. Florentino Ariza, repoussé par Fermina Daza, se réfugie dans la poésie et entreprend une carrière de séducteur impétinent et clandestin. Toute sa vie, en fait, n'est tournée que vers un seul objectif: se faire un nom et une fortune pour mériter celle qu'il ne cessera jamais d'aimer en secret et avec acharnement. Chaque instant de chaque jour pendant plus d'un demi-siècle.»
*****
J'ai bien aimé ce livre, même si j'ai mis beaucoup de temps à le lire. En fait, beaucoup plus que l'histoire, j'ai aimé l'écriture, qui m'a semblée si musicale. C'est le genre de roman qu'on se surprend à lire sur un ton de poésie lorsqu'on le lit tout haut.
Sur une note plus négative, c'est également l'écriture que j'ai le moins aimé. Je m'explique: les chapitres sont extrêment longs et il y a peu de dialogue, ce qui donne l'impression que tout est écrit petit et serré dans les pages, ce qui est un peu décourageant. C'est pourquoi j'ai mis tant de tant à le lire.
À vous de voir maintenant si vous avez le goût de lire ce genre de livre ou pas.
 

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