lundi 14 mai 2012

Le fléau, partie 2

Titre original : The Stand
Première parution : 1978
Mon édition : J'ai lu, 1990
506 pages

Quatrième de couverture :

L'Homme Noir ! Il est partout dans leurs rêves ! A l'affût ! Comment se soustraire à cet oeil de braise ? Dans son demi-sommeil, Stu Redman crêve de peur. Et Nick aussi, terrorisé par ce corbeau aux yeux noirs bordés d'un demi-cercle de sang.

Dans le tunnel Lincoln, Larry se sait poursuivi. Il court, mais à quoi bon ? IL est derrière lui comme un viseur à infrarouge. Même Nadine LE voit dans la chaleur infernale de la Vallée de la Mort. Le démon ne l'a-t-il pas appelée sa fiancée ?

Face à ce noir Charon, un espoir, peut-être. Mère Abigaël. La plus vieille femme de l'est du Nebraska. Magie, image ou mirage ? Leur seul rempart contre le Promeneur, l'homme sans visage, fléau de Dieu...

Mon commentaire :

Je commence tranquillement à y croire, à cet Homme Noir et à cette mère Abigaël, comme tous me l'avaient prédit. Je me suis remise du fait que le Fléau ne parle pas tant d'une épidémie que de la reconstruction d'un monde et cela m'a permis de mieux apprécier cette deuxième partie de l'histoire.
On sent toutefois que la deuxième partie de l'histoire est une sorte d'accalmie entre l'épidémie de grippe et la guerre que vont se disputer les représentants du bien et du mal dans le dernier tome. Par conséquent, ça ne déborde pas d'action. Les survivants se rassemblent tranquillement dans la ville de Bolder au Colorado, tandis que ceux qui sont attirés par l'Homme Noir se regroupent à Las Vegas. À Bolder, quelques survivants forment un comité qui tente de remettre de l'ordre dans la société qu'ils sont en train de former. On dégage la ville des cadavres, on remorque les voitures qui encombrent les routes, on tente de remettre l'électricité, on instaure une certaine forme de démocratie et de pouvoir. Le gros du travail reste toutefois toujours à faire à la fin du livre.
Je commence à avoir hâte de voir où va nous mener Stephen King avec cette histoire. Même si j'ai trouvé le livre un peu inégal (je dévorais certaines parties alors que je trouvais que d'autres étaient carrément pénibles), j'ai adoré lire comment pourrait se reconstruire le monde après une catastrophe telle que celle imaginée par Stephen King.
Je vous reviens très bientôt avec mon avis sur la troisième partie !


14 / 26
25/100

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