lundi 27 mai 2013

Lonely Planet Islande

Titre original : Lonely Planet Iceland
Éditions : En voyage, 1ère édition française, 2011
368 pages

Quatrième de couverture : 


NATURE sources chaudes, observation des baleines, randonnée glaciaire... une présentation détaillée des activités de plein air.
PRATIQUE budget, transport, hébergement : les clés pour réussir son voyage.
FESTIF des bars de Reykjavik aux manifestations traditionnelles, tout sur les réjouissances islandaises.

Mon commentaire : 

C'est officiel depuis quelques mois déjà : mes prochaines destinations voyage sont l'Islande et la Norvège. Comme ce sont deux pays qui ne sont pas particulièrement réputés pour être «low-budget», une planification un peu plus détaillée qu'à mon habitude s'avère nécessaire. Pour ce faire, quel meilleur ami puis-je trouver que le guide Lonely Planet? De tous mes guides touristiques (et je commence à en avoir une certaine quantité), c'est toujours ceux-là qui s'avèrent les plus pratiques. Ce ne sont peut-être pas les guides les plus attrayants, mais qu'a-t-on besoin en voyage, des images ou des informations pratiques ? Et en fait d'informations pratiques, les Lonely Planet sont quasi imbattables. Celui de l'Islande ne fait pas exception. Je l'ai parcouru de long en large pour être certaine de ne pas manquer une possibilité, ni d'informations importantes. Je sens d'ores et déjà que ce guide se révélera un compagnon fort utile ! 

dimanche 26 mai 2013

Look At Me !

Âge : à partir de 5 ans
Illustrations : Michael Martchenko
Éditions : Scholastic, 2008
28 pages.

Quatrième de couverture : 

When Madison gets her face painted, she doesn’t want anything fancy- just one rose on her cheek. Bue soon she realizes that it isn’t simple flower at all ! Can she ger her family to notice what is really going on ?

Mon commentaire : 

La simple petite rose que Madison se fait peindre sur la joue s'étend, et s'étend encore! Bizarrement, peu importe à qui Madison demande d'observer, personne ne voit ce qu'il lui arrive, ce qui augmente d'autant plus sa panique !

Une autre belle réussite de Munsch. C'est une histoire que les enfants aiment entendre, comme toutes ses autres histoires, d'ailleurs. En fait, peu importe quel album de Munsch vous prenez, c'est un succès assuré auprès des jeunes enfants !


Wait and See

Âge : à partir de 5 ans
Illustrations : Michael Martchenko
Éditions Scholastic, 1993
22 pages

Mon résumé : 

La petite Olivia fait de drôles de voeux avant de souffler les chandelles de son gâteau d'anniversaire. Elle veut de la neige, plus de neige et encore plus de neige ! alors qu'on est en plein été. Ses parents se moquent d'elle, mais elle dit : « attendez, voir », et ses voeux se réalisent tous les uns après les autres.

Mon commentaire : 

J'ai lu cette histoire en suppléance à l'école anglaise, et elle a été un vrai succès. Tellement que les enfants ont regardé la fenêtre à la fin de la journée dans les corridors et criaient «SNOW, SNOW and more SNOW !» alors qu'il faisait finalement beau soleil après plusieurs jours de temps moche. Je leur ai dit de faire attention à ce qu'ils souhaitaient, puis ils se sont mis à chanter des chansons de Noël (c'était au début du mois d'avril...). Dois-je répéter que nous étions dans les corridors, ou c'est supposé être silencieux ? J'étais découragée, mais au moins, j'avais atteint mon but : les divertir par la lecture d'un bon album. Et c'était doublement réussi, parce que j'avais deux Olivia dans la classe (nom du personnage principal).
Tout cela pour dire que, comme d'habitude, cet album de Munsch est une valeur sûre. Les enfants l'apprécieront, et vous aussi, c'est certain !

Mon vertpoilu dodu

Âge : à partir de 5 ans
Titre original : SNAGELGROLLOP
Illustrations : Nick Price
Éditions : Scholastic, 2009
24 pages

Quatrième de couverture : 

Sam a très envie d’avoir un animal, mais pour ses parents, il n’en est pas question.
-Et un vertpoilu dodu? Demande Sam.
Ils acceptent, pensant que Sam fait encore des blagues.

Le jour suivant, Sam rentre chez lui avec… Vous avez deviné !
Le vertpoilu dodu donne beaucoup de travail et fait des dégâts, mais il montre que les animaux peuvent avoir de très bons côtés !

Mon commentaire : 

Quel enfant n'a jamais regardé ses parents avec espoir et envie en leur demandant s'ils peuvent avoir un animal de compagnie ? Mon vertpoilu dodu raconte l'histoire d'un de ces enfants dont les parents refusent de lui acheter un animal. Le petit Sam fait preuve de beaucoup d'imagination lorsqu'il leur demande s'il peut avoir un vertpoilu dodu. S'esclaffant presque devant l'incongruité de la demande de leur enfant, les parents répondent oui ! Et bien, croyez-le ou non, Sam revient à la maison avec sa bête, dur d'entretien mais tellement attachante !
Mon vertpoilu dodu est une histoire qui m'a fait sourire, car elle m'a rappelé moi étant enfant. J'en étais harcelante tant je demandais souvent à mes parents d'avoir de nouveaux animaux ! Plusieurs enfants se reconnaîtront aussi sans doute à la lecture de cet album. Peut-être inventeront-ils eux aussi leur animal imaginaire si leurs parents ne veulent pas ou ne peuvent pas leur acheter d'animaux de compagnie !

Le trésor de Jacob

Âge : dès 3 ans
Illustrations : Steve Adams
Éditions : Dominique et compagnie, 2005
32 pages

Quatrième de couverture : 

Jacob a le cœur rempli de gros nuages noirs. Mamie Li, sa grand-maman adorée, est partie vivre au loin, dans une immense maison où des infirmières pourront s’occuper de ses jambes en spaghetti.
Heureusement, Mamie Li a confié à Jacob ses trésors : le clown à grande bouche, Bella la ballerine, le petit cheval doux… tous les jouets de son enfance qui ont traversé le temps.

Avec eux, Jacob vivra une mystérieuse aventure, une grande quête qui lui fera découvrir un trésor encore plus précieux.

Mon commentaire :

Si les lectures que j'ai faites de Lucie Papineau m'ont en généralement plus ou moins permis de partager l'enthousiasme général pour cette auteure de littérature jeunesse, Le trésor de Jacob m'a permis de mieux comprendre cet engouement. La douceur, la tendresse et la délicatesse de ce récit en font un album doudou, qui par son écriture tant que par ses illustrations plairont aux jeunes comme aux moins jeunes. J'ai passé un très bon moment en compagnie de cet album, que je classe parmi mes préférés dans la catégorie tous âges.

samedi 25 mai 2013

Roro le cochon savant

Âge : À partir de 6 ans environ
Illustrations : Bruno St-Aubin
Éditions : Dominique et compagnie, 2005
29 pages

Quatrième de couverture : 

Voici l’incroyable aventure de Roro, le petit cochon qui est devenu le plus grand savant du monde.

Racontée avec brio par Gilles Tibo et merveilleusement mise en images par Bruno St-Aubin, cette fable drôle et romantique nous révèle comment un livre peut nous apprendre quelque chose… qui ne s’apprend pas dans les livres !

Mon commentaire : 

J'ai découvert cet album en suppléance alors que je devais lire l'histoire à des élèves de deuxième année pour une évaluation. Ils devaient, entre autres, repérer des mots qui finissent par le son « ette ». Et ils sont nombreux !
Mais les possibilités pédagogiques de cet album ne sont pas sa principale qualité. C'est son humour. J'ai eu envie de rire pendant toute ma lecture de l'album, et je voulais lire plus vite pour voir où cette histoire mènerait, au grand désespoir des élèves qui paniquaient parce qu'ils n'entendaient pas les mots finissant en « ette ». Au final, j'ai dû relire l'histoire deux fois pour donner des chances aux élèves...
Si j'étais auteure d'albums, c'est le genre d'album que j'aimerais écrire : original, créatif et drôle, avec, en plus, de nombreuses possibilités d'exploitation pédagogique. Je peux donc dire sans crainte que c'est, jusqu'à maintenant, l'album de Gilles Tibo que j'ai préféré.

Il était une fois... un petit garçon qui avait peur de tout et de rien

Âge : à partir de 6 ans environ
Illustrations : Stéphane Poulin
Éditions : La courte échelle, 1998
Collection : Il était une fois
20 pages

Quatrième de couverture : 

Il était une fois un petit garçon peureux, mais peureux… que tout effrayait. Tout, absolument tout et même son ombre ! À tel point que ses parents commençaient à vraiment s’inquiéter!

Mon commentaire : 

Voici un album que j'ai découvert au hasard de mes recherches à la bibliothèque. J'étais curieuse de lire ce que Stanley Péan, dont je lisais les romans étant enfant, avait à raconter aux plus jeunes enfants. 
J'ai beaucoup aimé cette histoire au vocabulaire riche et imagé. Péan aurait pu conclure son histoire d'une façon beaucoup moins originale et imiter les centaines d'albums similaires, mais non. Il m'a complètement surprise et j'ai souri devant la mignonne conclusion de l'album. Je le recommande donc, malgré le fait que l'album commence à dater un peu ! 

vendredi 24 mai 2013

La croix de feu, partie 1

Titre original : The Fiery Cross
Éditions : Libre expression, 2002
717 pages

Quatrième de couverture : 

Dans ce cinquième volet, nous retrouvons Claire et son mari, Jamie, en 1770, en Caroline du Nord. La guerre d'Indépendance américaine est sur le point d'éclater et un grand événement se prépare chez les Fraser : le mariage de la fille de Claire, Brianna, ainsi que celui de la tante de Jamie, Jocasta.
Mais cette cérémonie de noces multiples est abruptement interrompue lorsque Jamie reçoit l'ordre de constituer, au nom de Sa Majesté, une force armée prête à intervenir en cas d'urgence.
Pièges, drames, catsastrophes, rien n'est épargné au couple Fraser, ni aux membres du clan. Mais la croix de feu, symbole des Highlanders en guerre, continue de briller dans tous les coeurs.

Mon commentaire :

Ne sachant à vrai dire pas trop quoi penser suite à la lecture de ce tome des aventures de Jamie et Claire, j'ai pris le temps de lire les critiques sur Babelio. Ce qui ressort en général des critiques en question, c'est la lenteur de la progression des événements. En effet, on ne peut pas renier le fait que depuis un, voire deux tomes, le rythme de l'histoire tend à ralentir dangereusement... Gabaldon nous a habitué à un rythme beaucoup plus soutenu, à des aventures qui se succèdent les unes aux autres sans qu'on ait le temps de reprendre notre souffle. Quelqu'un mentionne même que l'auteur prend 300 pages, soit presque la moitié du livre, pour décrire 24 heures... Je l'avais noté moi aussi. C'était long. Pourtant, je suis restée accrochée et j'ai persévéré. Pourquoi ? Le couple Jamie et Claire prend de l'âge, mais ils restent jeunes de coeur et les dialogues sont toujours aussi savoureux. Je crois bien que c'est ce qui me permet de demeurer accrochée. Et puis, j'ai entendu entre les branches que l'histoire reprend vit sinon dans le prochain tome, du moins avant la fin. J'ai bien envie de continuer même si, je dois l'avouer, je m'ennuie un peu de mon addiction pour les deux premiers tomes !

lundi 20 mai 2013

Un fascinant regard

Titre original : Dream Man
Éditions : J'ai lu, 1996
Collection : Pour elle suspense
316 pages

Quatrième de couverture : 

« Le couteau étincelle, lançant un éclat mat, s'enfonce dans la chair avec un bruit étouffé... » Marlie freine à mort et se gare sur le bas-côté de la route. La vision, atroce, la submerge. Meurtre en direct... Témoin invisible, elle voit la scène par les yeux de l'assassin. Dan Hollister est sceptique, il oscille entre l'incrédulité et l'exaspération. Une femme médium qui lui donne un luxe de détails tandis que lui n'a pas la moindre piste ! Le comble pour un flic. Pire encore, les yeux de Marlie le bouleversent, le fascinent, l'envoûtent. Entre elle et lui, c'est l'affrontement, la suspicion. Un jeu dérisoire qui tourne vite à la passion. Mais le tueur tisse sa toile, et Dan songe alors à lui tendre un piège en exposant celle qu'il aime. Folle provocation ! La riposte ne se fait pas attendre...

Mon commentaire : 

Lire Linda Howard, c'est toujours la promesse d'un moment agréable, mais légèrement coupable. Ses romans sont comme du bonbon, on les engloutit avec appétit et on apprécie leur saveur. Toutefois, une fois terminé, on se sent légèrement coupable. On se sent coupable, parce qu'avec le recul, on se rend compte du peu de crédibilité de l'histoire, de l'enchaînement des événements ou de l'aspect un peu trop parfait des personnages. Néanmoins, pour moi il y a une différence entre lire Linda Howard et d'autres auteurs de romans un peu naïfs. Cette différence, c'est qu'on sent entre les lignes que Howard assume totalement son incrédibilité. Elle écrit pour donner un bon moment à ses lectrices, et elle le réussit parfaitement. 

Dans Un fascinant regard, on retrouve encore l'homme de prédilection de l'auteur : un policier musclé, un peu brute et débordant de confiance en lui, encore célibataire parce que son travail passe avant l'amour. On retrouve aussi la femme légèrement trop maigre, fragile mais têtue, traumatisée par une expérience qui la bloque dans ses relations amoureuses. De plus, comme avec d'autres de ses personnages, Marlie est médium. Et finalement, nous retrouvons le tueur en série, imbu de sa petite personne et trop confiant, qui se fait coincer juste à temps alors qu'il essayait de tuer l'héroïne.

Bon, comme ça, j'avoue que ça ne donne pas trop trop envie de le lire, mais je vous promets que les dialogues sont savoureux et que l'histoire vous collera un petit sourire stupide au visage du début jusqu'à la fin. C'est juste une fois terminé que vous aurez sans doute un peu honte d'y avoir pris autant de plaisir.

lundi 6 mai 2013

Des livres pour Nicolas

Âge : 4 à 7 ans
Illustrations : Bruno St-Aubin
Éditions : Scholastic, 2003
30 pages

Quatrième de couverture : 

Chaque fois que Nicolas veut faire quelque chose, quelqu'un lui donne un livre pour lui montrer comment. Mais, après une visite à la bibliothèque de son quartier, Nicolas apprend que les livres peuvent aussi être amusants!

Mon commentaire : 

Cet album est une autre belle réussite de Gilles Tibo. On sait que beaucoup de jeunes n'aiment peut-être pas la lecture. Dans cet album, le petit Nicolas est un de ces enfants. Il comprend que la lecture est utile pour apprendre, mais il n'a pas encore découvert à quel point celle-ci peut être amusante. Alors, quand son amie l'invite à aller à la bibliothèque municipale, Nicolas n'est pas très chaud à l'idée. Mais les découvertes qu'il y fait le convainquent que la lecture, ça peut aussi être un moyen de se divertir. 
Comme Nicolas, j'ai fait une bien belle découverte en lisant cet album. À lire aux jeunes qui disent détester la lecture avant de vraiment avoir essayé.

jeudi 2 mai 2013

Cherche figurants

Âge : à partir de 7 ans
Illustrations : Jean-François Dumont
Éditions : L'école des Loisirs, 2012
37 pages
 
Quatrième de couverture :
 
Il arrive qu'un auteur se trouve en panne d'idées.
Ou en panne d'histoires.
Ou en panne de personnages.
Alors, quand il se nomme Michaël Escoffier, il placarde quelques affiches à l'orée du bois et le tour est joué.
Du moins, c'est ce qu'il espère...
 
Mon commentaire :
 
Quel drôle d'univers que celui créé par Escoffier dans cet album ! C'est comme semi-imaginaire, semi-réalité. J'ai trouvé l'idée de l'auteur de s'intégrer lui-même à son histoire tout à fait géniale ! Et les personnages qui sont volontaires pour devenir des figurants de l'histoire, sans même trop savoir ce que c'est, sont hilarants quand ils démontrent leurs talents particuliers. En bref, c'est une autre belle découverte que j'ai faite à la librairie du coin, et ce, à prix modique!

Drôles de cochons!

Âge : à partir de 5 ans
Titre original : Pigs
Éditions : Scholastic, 2013
Édition originale : 1989
24 pages

Mon résumé :

Le père de Mégane lui demande de nourrir les cochons avant de partir à l'école. Mais attention! Il ne faut pas laisser la barrière ouverte, car ils sont plus malins qu'ils en ont l'air et pourraient s'échapper ! Mégane, elle, trouve que les cochons ont l'air bête. Alors elle fait fi des directives de son père et laisse la barrière ouverte. C'est alors que les cochons s'échappent et envahissent la maison, l'école, l'autobus ! Oh non ! Mégane aurait dû écouter son père...
 
Mon commentaire :
 
Ça fait tellement de Robert Munsch que je lis et que je commente que la plupart du temps, je ne sais plus qu'en dire. Que voulez-vous ? À chaque fois, c'est un plaisir renouvelé, et très souvent pour les mêmes raisons. Les histoires de Munsch sont simples et drôles. Elles sont aussi répétitives et prévisibles, deux qualités qui plaisent aux enfants lorsqu'on leur lit une histoire. Quand ils peuvent compléter une phrase ou deviner la suite de l'histoire, ils sont aux anges !
Il faut croire que j'ai gardé mon esprit d'enfant, car pour moi aussi c'est toujours un délice que de lire Munsch, même si je sais toujours à quoi m'attendre, et même si je peux deviner l'histoire du début à la fin.  Drôles de cochons! ne fait pas exception. À 8,99 $, on serait fous de s'en passer !

mercredi 1 mai 2013

Bilan avril 2013

Enfin ! Je suis finalement de retour à un rythme de lecture qui me ressemble plus. Les derniers mois ont été si épuisants que les livres me tombaient des mains à tous les soirs ou presque. Ce mois-ci (ça doit être les jours qui rallongent), j'ai finalement réussi à accrocher à plus d'un livre, et pas seulement à des albums jeunesse !

Ce mois-ci, j'ai lu :

  • 10 livres
  • 10 fictions, 0 non-fiction
  • 7 livres jeunesse, 2 livres young adult
  • 2 livres en anglais
  • 1729 pages
Côté challenges :

Hunger games, tome 3 : La révolte- Suzanne Collins
 
 
Hors challenge :
 
  • La saga des Lowlands, tome 1 : une épine dans le coeur- Liz Curtis Higgs
 
Hors challenge, young adult :
 
  • Sorcière, tome 11 : Origines- Cate Tiernan
 
Hors challenge, jeunesse :
  • Les 4 as et le serpent de mer- Georges Chaulet
  • Recette d'éléphant à la sauce vieux pneu- Carole Tremblay
  • The Boy in the Drawer-Robert Munsch
  • Une tonne de tartes!- Robert Munsch
  • Un petit tourbillon de colère- Charlotte Demanie & Barbara Brun
  • A Fine, Fine School- Sharon Creech
  • Le petit chevalier qui n'aimait pas la pluie- Gilles Tibo