vendredi 30 mars 2018

Invisible Cities (Les villes invisibles)

Titre original : Le Cita Invisibili
Éditions : Vintage Classics, 1997
Paru pour la première fois : 1972
165 pages

Résumé du livre (pris sur Babelio, mon édition n'en contenant pas):
 
Les villes que voici n'ont leur place sur aucun atlas, et on ne sait à quel passé ou présent ou futur appartiennent ces cités qui portent toutes le nom d'une femme. Peu à peu, le lecteur est conduit au milieu d'une mégalopolis contemporaine près de recouvrir la planète. Et tout au long passent des villes qui ne peuvent exister qu'en rêve : filiformes, punctiformes, dédoublées, effacées.
Relation de voyage d'un Marco Polo visionnaire auprès d'un Khan mélancolique, ces nouvelles d'un monde rêvé forment un fragile et merveilleux catalogue d'emblèmes.
 
Mon commentaire :
 
Il y a de ces livres qu'on souhaite de tout cœur aimer, pour une raison ou pour une autre, mais qui, malgré toute notre bonne volonté, ne nous accrochent pas.
 
J'ai cheminé péniblement à travers les pages de ce livre, espérant donc l'aimer. Mais rien à faire. J'avais beau entrevoir toute la beauté des métaphores, toute la finesse de l'écriture, rien ne m'atteignait et je ne faisais que m'ennuyer profondément tout en pensant au prochain livre que j'allais ouvrir.
 
Ces villes décrites par Coelho sont trop fantaisistes pour moi, difficiles à imaginer et à saisir. Je n'ai pas de mal à comprendre que d'autres ont adoré leur lecture. Mais bon, je me dois de l'admettre, pour moi Les villes invisibles ont été un échec sur toute la ligne.

+19
 

dimanche 18 mars 2018

Entre deux os (Meurtres au scalpel)

Titre original : Break No Bones
Éditions: Robert Laffont Pocket, 2007
Paru en anglais en : 2006
452 pages

Quatrième de couverture :
 
Un drogué enterré, une clocharde noyée, un ancien policier pendu : il fallait bien tout le talent de Temperance Brennan pour distinguer, derrière la diversité des techniques utilisées, la main d'un même home. À défaut d'un statut social, d'un profil physique ou d'une scène de crime comparables, tous ont un point en commun : ils ne manqueront à personne. Et tous portent, sur une vertèbre bien précise, la signature insolite de leur assassin...
 
Sous le soleil de Charleston, fleuron de la vieille Caroline du Sud, les vacances de Tempe tournent vite au délire. Quand l'anthropologue judiciaire n'est pas mandatée d'urgence auprès d'un squelette, elle doit jouer les négociatrices entre Peter, son ex-mari, et Ryan, son amant québécois. Les caprices du cœur, pourtant, ne sont rien : dans cette affaire, ce sont bien d'autres organes qui entrent en jeu...
 
Mon commentaire :
 
Lire un Kathy Reichs est toujours pour moi une valeur sûre. Je suis certaine de passer un bon moment de lecture, de me sentir transportée dans les régions que visite son héroïne, et surtout de m'imaginer faisant son travail. J'adore les enquêtes menées indirectement par Tempe, et le mystère plane dans tous ses romans.
 
Celui-ci ne fait pas exception. Il est même particulièrement mystérieux du fait qu'il est bien difficile d'imaginer ce qui peut bien relier les victimes. La conclusion est aussi satisfaisante, même si, après avoir lu plusieurs romans de l'auteure, certains événements deviennent assez prévisibles du fait que les mêmes ficelles sont souvent utilisées.
 
Mais cela ne m'empêche nullement d'apprécier mes lectures et de passer un vrai bon moment hors de mon quotidien. À lire, donc !
 
+18
 

jeudi 1 mars 2018

L'hôtesse de l'air, tome 1 : le décollage de Scarlett Lambert


Éditions : Libre Expression, 2014
278 pages

Quatrième de couverture :
 
Scarlett, trente ans, est agente de bord, mais elle préfère dire « hôtesse de l'air » parce que c'est plus sexy. Ses amies ne cessent de lui répéter qu'elle est trop exigeante envers la vie, et surtout envers les hommes. Pourtant, elle refuse de laisser de côté ses principes par peur d'être seule. Elle a bien déniché un emploi de rêve, non ? Alors le reste suivra assurément !

Cependant, travailler à 36 000 pieds d'altitude n'est pas toujours de tout repos. Entre les voyages aux quatre coins du monde, les aventures cocasses avec les passagers et les histoires abracadabrantes de ses collègues, Scarlett attend l'amour. Lorsqu'il se présentera enfin à elle, ce sera sous la forme d'une relation quasiment impossible. Dira-t-elle oui à cet amour et, dans ce cas, à quel prix ?
 
Mon commentaire :
 
J'ai trouvé dans ce roman de chick lit exactement ce à quoi je m'attendais. Une histoire divertissante et un page turner, sans pourtant être un chef d'oeuvre, et surtout, j'ai retrouvé la plume humoristique d'Élizabeth Landry dont je suivais le blogue avec assiduité il y a quelques années.
 
La vie d'agent de bord a de quoi intriguer. Contrairement à plusieurs, je suis loin de considérer que c'est l'emploi idéal, même si j'adore voyager. Servir des gens parfois hautement désagréables, calmer les tensions dans un environnement aussi restreint, alors que tout le monde a les nerfs à vif ? Très peu pour moi. Sans compter les heures et les horaires impossibles, le décalage d'horaire. Reste que l'idée de voyager autant presqu'à tous les jours a un quelque chose d'exotique et de mystérieux...
 
L'Hôtesse de l'air permet de nous immerger dans ce monde inconnu et de découvrir ce qu'est réellement le métier d'agent de bord. J'ai vraiment beaucoup aimé cet aspect du livre, et le ton sarcastique et humoristique avec lequel Elizabeth Landry décrit les anecdotes de ses personnages.
 
L'histoire personnelle de Scarlett Lambert m'a moins intéressée. J'ai trouvé ses amies agaçantes, et son désir d'être en couple à tout prix un peu pathétique. Bon, étant moi-même trentenaire et célibataire, je comprends la pression qui vient de toutes parts, mais de là à faire des séances de flirt intensives ? Je comprends que c'est de l'humour, mais bon.
 
Néanmoins, ce roman a été pour moi un véritable page-turner. J'ai le goût de lire davantage d'anecdotes d'agent de bord, de découvrir quelles autres destinations verra Scarlett et aussi, je dois l'avouer... ce qu'il adviendra de sa relation impossible avec son pilote marié. Je suis accrochée, je dois l'avouer. J'espère que la suite ne me décevra pas trop, car je vois mal comment je pourrais en sortir satisfaite.`
 
+17


Bilan février 2018

Encore un mois parfait ! J'ai résisté à la tentation d'acheter ou d'emprunter des livres, et j'ai allégé ma PàL d'un nombre appréciable de 8 livres. Mais je sens que ma résistance tire à sa fin...

En février, j'ai lu :

8 livres
6 fictions, 2 non fictions
1708 pages
4 livres jeunesse
2 romans
1 biographie
1 livre documentaire

Les romans :

  • La solitude des nombres premiers-Paolo Giordano
  • Chroniques de San Francisco- Armistead Maupin
Les livres jeunesse :
  • Fierro ou l'été des secrets- Viviane Julien
  • Péril au pays du chocolat- Judith LeBlanc
  • Je ne veux pas prendre mon bain ! - Julie Sykes
  • Le chat, la citrouille et la sorcière- Yves Bédard
La biographie :
  • Mère Teresa- Navin Chawla
Le livre documentaire :
  • L'intelligence émotionnelle 2- Daniel Goleman

Mon challenge PàL va plutôt bien, avec un score de +16 en deux mois. Espérons que cela continuera comme ça, car il me reste encore pas moins de 324 livres dans ma PàL !